As-tu déjà regardé en face ta mission d’accompagnement/formation/animation/relation d’aide… et ton besoin d’amour et de reconnaissance ?
Accompagner, former, aider, faciliter, est-ce un moyen déguisé de recevoir de l’amour ?
Pourquoi je t’interpelle sur ce sujet ?
Car tout au long de mon chemin et de celui des professionnels que j’accompagne, j’ai observé comment notre besoin de reconnaissance et d’amour pouvait être présent dans la relation d’accompagnement et pouvait parfois nous détourner de notre mission : soutenir le développement d’autrui.
Progressivement et à force de travail sur moi (d’accueil et de reconnaissance de moi-même et de ce qui se joue en moi), j’ai pu m’occuper de mon besoin d’amour et de reconnaissance.
Car si tu ne t’occupes pas de ton besoin d’amour et de reconnaissance, il viendra tôt ou tard parasiter la relation et altérer l’accompagnement.
Ce besoin d’amour et de reconnaissance est humain et légitime, mais il importe de le traiter pour préserver l’intégrité de l’accompagnement et t’amener a davantage de confort.
Trop souvent les compétences techniques sont investies au détriment des compétences relationnels et affectives pourtant ESSENTIELLES à ta mission.
Ce besoin d’amour et de reconnaissance, s’il n’est pas conscientisé ou accueilli, peut influencer subtilement (et parfois inconsciemment) les dynamiques dans la relation d’accompagnement. Je t’interpelle sur la nécessité d’identifier, d’accueillir et de travailler sur tes propres besoins affectifs pour éviter qu’ils ne biaisent la relation d’accompagnement individuelle ou collective.
Quand est ce que ce besoin affectif non accueilli peut interférer avec ton rôle ?
Prenons un exemple/ une illustration :
Ce besoin d’amour non traité peut t’empêcher d’accueillir les contractions intérieures des personnes que tu accompagnes.
Lorsque la personne, que tu accompagnes, exprime un désagrément, un mécontentement, un inconfort, un doute dans ce qu’elle vit dans l’espace d’accompagnement (individuel ou collectif),
As-tu tendance à le prendre pour toi ? Éprouves-tu un rejet personnel ?
Ressens-tu une agitation intérieure dont tu as du mal à te défère ? Cela active-t-il en toi un sentiment d’illégitimité ?
Quelque chose se débat-il en toi OU parviens-tu à être pleinement présent à l’autre dans ce qu’il est en train d’exprimer ?
As-tu envie de te défendre, de prouver, d’affirmer ton positionnement comme un bouclier protecteur ?
Ressens-tu en toi une fermeture dans le lien à l’autre et une forme de repli ?
As-tu envie de séduire ton/tes interlocuteurs pour abaisser ton niveau d’anxiété ?
Face aux résistances, aux mécanismes de défenses qui s’activent, aux oppositions qui s’expriment, quel est ton niveau d’agitation ?
Si tu ne travailles pas sur la relation à toi « m’aime », si tu n’accueilles pas ton besoin d’amour et de reconnaissance,
ALORS, il y a des chances qu’il s’invite malgré toi dans tes accompagnements.
Soit par un système de défense très présent en toi, soit par des tentatives de séduction à autrui.
Or, je le rappelle notre mission c’est de prendre soin de la relation et de l’alliance de travail
pour soutenir le développement des personnes que nous accompagnons, formons, aidons, … ET non de combler ou de nous débattre avec nos manques affectifs.
Lorsque la personne exprime un désagrément, un mécontentement, un inconfort, un doute dans ce qu’elle vit dans cet espace d’accompagnement, c’est un moment CRUXIAL.
Un moment où le lien peut se briser OU au contraire une opportunité de prendre soin du lien et du développement de la personne.
Au travers de toi, la personne a besoin d’accéder à quelque chose d’important pour elle-même.
Si tu la freines dans son cheminement, si tu n’autorises pas son expression pour te protéger, elle n’y accèdera pas. Il ne s’agit pas de toi mais d’autre chose qui se joue. Simplement ton besoin de reconnaissance et d’amour non traité et intégré se met en travers de SON développement.
Ce qui est réjouissant, c’est que nous pouvons TOUS accroître notre sécurité intérieure. Nous pouvons tous aller à la rencontre de nous-mêmes et développer nos facultés affectives afin de prendre soin de la relation d’accompagnement.
En effet, la clé de l’accompagnement congruent, réside dans la relation à soi-même.
Développer une sécurité intérieure, accueillir ses propres vulnérabilités, et renforcer sa posture professionnelle sont des étapes essentielles pour éviter que des besoins personnels non résolus interfèrent dans la relation d’accompagnement.
J’accompagne, forme et supervise des professionnels de l’accompagnement à développer leurs pratiques et méthodologies de facilitateur, leurs postures relationnelles, leur identité professionnelle et leurs relations à eux-mêmes.
Face à ton besoin d’amour et de reconnaissance, je te guide sur ce chemin vers toi « m’aime ».
Je te permets de t’accueillir pleinement pour accroitre ta faculté d’accueil d’autrui (dans tout ce qui s’exprime et a besoin d’être libéré chez l’autre).
Je t’accompagne à retrouver ton assise professionnelle, à te ré-ouvrir à l’autre par une écoute empathique et une posture contenante de facilitateur.
Je t’aide à garder, voire à restaurer le lien d’accompagnement, qui peut se couper en un rien de temps, si tu ne cultives pas ce chemin vers toi « m’aime ».
As-tu envie
de prendre soin du/de la professionnel.le que tu es,
de prendre soin de la relation d’accompagnement et
de LIBÉRER ta pratique de ce qui l’encombre
pour devenir un praticien.ne épanoui.e et CONGRUENT.E et efficient.e ?
Parlons-en !
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Emilie GREGOIRE
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